Alice Collavin - Johann Carl Loth : comment devenir ‘Pitor de quei da festa’ dans la Venise de la moitié du XVIIe siècle
Key | Action |
---|---|
K or space | Play / Pause |
M | Mute / Unmute |
C | Select next subtitles |
A | Select next audio track |
V | Show slide in full page or toggle automatic source change |
left arrow | Seek 5s backward |
right arrow | Seek 5s forward |
shift + left arrow or J | Seek 10s backward |
shift + right arrow or L | Seek 10s forward |
control + left arrow | Seek 60s backward |
control + right arrow | Seek 60s forward |
shift + down arrow | Decrease volume |
shift + up arrow | Increase volume |
shift + comma | Decrease playback rate |
shift + dot or shift + semicolon | Increase playback rate |
end | Seek to end |
beginning | Seek to beginning |
Informations sur ce média
Nombre de vues :
46 (ce mois : 1)Date de création :
nov. 12, 2018Lien vers la chaîne du média :
Autres videosDescription
Nel Vento II della Carta del navegar pitoresco (1660) di Marco Boschini, l’Eccellenza reputa fortunato un giovane artista tedesco, incontrato nelle Scuola di San Rocco, mentre è intento a riprodurre su carta le opere di Tintoretto, poiché si trova a Venezia, città ideale per diventare “Pitor de quei da festa”. Il presente intervento si propone di ripercorrere il primo decennio dell’attività veneziana (ca. 1653-1663) di Johann Carl Loth (1632-1698), monacense d’origine, che gli studi propongono di identificare con il copista incontrato dall’Eccellenza; si ragionerà, dunque, sulle motivazioni del suo successo nel competitivo ambiente artistico della Venezia barocca, dopo un soggiorno di studio a Roma, riportato da varie fonti storiografiche settecentesche. La specializzazione come pittore di “miniature” (cabinet paintings), rintracciabile solo in alcuni documenti inventariali e nella storiografia (Boschini; Martinioni), permise all’artista di incrociare le predilezioni dei protagonisti del collezionismo veneziano (perlopiù homines novi, come i Correggio), più attenti alle proposte artistiche “foreste”. Con l’affiancamento alla corrente pittorica di punta (“i tenebrosi”) e la ricezione degli spunti stilistici provenienti da altre scuole pittoriche (da Cortona, Giordano, Poussin), Loth sviluppò un linguaggio artistico autonomo, carta vincente per la sua successiva affermazione internazionale. All’inizio degli anni Sessanta, inoltre, Loth, come già prima di lui Nicolas Régnier, affiancò al mestiere di artista, quello di perito, mercante e collezionista; partecipò, dunque, a quel processo di affrancamento dei pittori dalla corporazione di natura artigianale della Fraglia e al riconoscimento della pittura come arte liberale, che sarebbe sfociato nella nascita del Collegio dei Pittori (1682).
Colloque international « Faire carrière en Italie : les artistes étrangers à Rome et à Venise au temps de Nicolas Régnier » (Nantes, Musée d’arts, 22-23 février 2018)
Présentation du colloque : Parallèlement à la première exposition consacrée au peintre Nicolas Régnier (v. 1588-1667) organisée au Musée d’arts de Nantes, le colloque a pour but de confronter le parcours exemplaire de cet artiste flamand à celui d’autres artistes étrangers de son temps, plus précisément à Rome et à Venise, les deux villes où il a vécu pendant plus de quarante ans. Régnier a su en effet parfaitement s’adapter aux milieux artistiques de ces deux cités pour mener une très longue carrière. À la lumière de son parcours, ce sont les modalités d’intégration des artistes étrangers que le colloque interrogera, en prenant en compte les spécificités politiques, artistiques et intellectuelles de Rome et de Venise. Quels étaient les moyens dont disposaient les artistes étrangers pour s'insérer dans les milieux artistiques romains et vénitiens au XVIIe siècle ? Qu’est-ce qui pouvait déterminer pour un artiste étranger une activité pérenne dans des villes comme Rome et Venise ? Peut-on déterminer des parcours types, en fonction de ces deux foyers si différents ?
Colloque organisé en collaboration entre l’Université de Nantes et le Musée d’arts de Nantes, avec le soutien de la Fondation de l’Université de Nantes et du Comité nantais de la Società Dante Alighieri.
Comité scientifique : Adeline Collange-Perugi (Musée d’arts de Nantes), Emmanuel Lamouche (Université de Nantes) et Annick Lemoine (Université de Rennes 2 – Institut National d’Histoire de l’Art)
Organisation : Emmanuel Lamouche, LARA - UMR 6566 CReAAH - Université de Nantes
Autres médias dans la chaîne "Autres videos"
- 53 vues, 2 ce moisConsultation et laboratoire de génétique20 juillet 2023
- 5 vues, 1 ce moisProjet Estuaire (laboratoires IREENA, LTeN)24 janvier 2023
- 29 vues, 1 ce moisInstitut des substances et organismes de la mer - ISOMER12 juillet 2022
- 262 vues, 1 ce mois3 questions à... Catherine de Charette, directrice de la Fondation Nantes Université27 juin 2022
- 1346 vues, 1 ce moisÉlections Nantes Université - 3 questions à Carine Bernault17 décembre 2021
- 71 vues, 1 ce moisLe point sur les élections avec Marc Renner, administrateur provisoire de Nantes Université4 novembre 2021